« La présence de Marie dans le cœur de celui qui prie le chapelet attire en lui la prière de l’Esprit Saint, comme un four solaire attire les rayons du soleil et obtient une température de plusieurs centaines de degrés.
« C’est ce qui s’est passé au Cénacle, quand Marie a joint sa supplication à celle des disciples, devenant ainsi le modèle de l’Eglise en prière : l’Esprit a mis le feu à l’Eglise et au monde en les portant au plus haut degré d’incandescence. »
(Jean Lafrance, « Le chapelet, un chemin vers la prière incessante », Médiaspaul 1997, page 13)
« C’est pourquoi [la présence de Marie] était indispensable à la Pentecôte. Vous savez qu’aujourd’hui on fabrique des fours solaires : ce sont des miroirs paraboliques concentrant les rayons du soleil sur un foyer où l’on obtient facilement trois mille degrés. Eh bien, au moment de la Pentecôte, Marie était ce miroir parabolique. Marie n’est pas le Soleil, mais elle attirait les rayons du Soleil par sa confiance. »
(Marie-Dominique Molinié, « Le courage d’avoir peur », Cerf 2003, pages 222-223).