<br /> Après la doctrine, voilà maintenant la liturgie. Outre la médiocrité habituelle du chant des schtroumpfs*** de Paris, on se permet sans aucun problème la censure de la pièce de l'offertoire. Où est-elle passée ? Ceci est profondèment scandaleux et anti-liturgique. On imagine<br /> qu'il doit encore y avoir un "expert" derrière toutes ces bétises liturgiques maintes fois dénoncées par Benoît XVI. On notera aussi le choix plus que douteux de certaines pièces qui ne<br /> correspondent en rien à la tradition liturgique. L'utilisation de la langue vulgaire (avec ses traductions parfois hérétiques) pour une messe qui se veut "grégorienne" est choquant. Et je ne<br /> parle pas d'autres scandales liturgiques dû au manque de dignité des célébrants (spécialité française depuis plus de 40 ans) ; de "l'encensoir" trouvé dans une métallurgie ; de "l'autel" moderne<br /> qu'il faudrait défoncer à coup de masse, etc...<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> A Westminster, il ont un vrai autel ; un vrai encensoir ; une vraie chorale ; des célébrants qui savent se tenir ; bref, ils sont catholiques.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> *** Oui, oui, oui. A cause de leurs djellabas-bleues, ce terme est désormais usité dans beaucoup de milieux catholiques lorsqu'il s'agit de parler des "castafiores" de N-D de Paris.<br />