6 juin 2010 7 06 /06 /juin /2010 12:12


Deuxième Partie
 : LA RAISON


LES PREUVES DE L'EXISTENCE DE DIEU (2/2)
 

 

 


 

Chers amis,

 

Nous poursuivons notre étude des preuves de l’existence de Dieu.

 

Après avoir examiné les preuves métaphysiques tirées de l’observation de l’univers et les preuves tirées du consentement universel des hommes à l’existence de Dieu, il nous reste à traiter des preuves tirées de l’homme lui-même : de la considération de ce que l’homme est en lui-même.

 

3. Les preuves tirées de l’observation de ce qu’est l’homme en lui-même

 

La troisième preuve raisonnable de l’existence de Dieu, c’est la preuve tirée de l’être de l’homme. Ce que l’homme est en lui-même nous dit quelque chose de Dieu : de son existence, mais aussi de son essence. Comment donc ? De 4 manières :

 

1°) L’existence de notre « moi », de notre conscience, de notre intelligence, révèle l’existence d’un Dieu personnel et intelligent ;

 2°) La loi morale inscrite dans notre cœur révèle l’existence d’un Législateur suprême ;

 3°) Notre désir d’infini et 4°) notre exigence de justice révèlent une plénitude divine à laquelle nous sommes appelés – mais qui ne peut s’accomplir dans notre humanité.

 

3.1. L’existence de notre « moi »

 

L’existence de notre « moi », de notre conscience, de notre intelligence, témoigne de l’existence d’un Dieu personnel et intelligent.

 

L’homme est un être extraordinaire quand on y pense, tout à fait unique dans le monde des vivants. En un certain sens, c’est un animal comme les autres ; un mammifère parmi les mammifères. Il en a toutes les caractéristiques biologiques, en moins perfectionnées parfois sur bien des aspects. Il représente le terme de l’évolution animale – et il apparaît de ce fait comme un animal, descendant de l’animal ; un animal certes évolué ; un animal debout ; mais un animal quand même.

 

Pourtant, l’homme se révèle un animal d’un genre tout particulier, et ce, dès l’origine. Animal technicien, il fabrique et perfectionne ses outils ; animal qui parle, il communique avec ses semblables par un langage articulé ou par des signes graphiques ; animal social, il obéit à des règles et distingue le permis et le défendu ; animal raisonnable, il est capable de s’interroger sur sa propre nature et de se mettre en question.

 

Unique par sa raison qui cherche le vrai, le bien, le beau, l’homme est un être qui désire comprendre et connaître les causes. Il a le pouvoir prodigieux de s’évader de son corps, de forcer les barrières de l’espace et du temps, de scruter les siècles passé, de réfléchir sur son histoire, sans que son corps ne soit un obstacle à l’élan de sa pensée. Son intelligence lui a permis d’acquérir une merveilleuse maîtrise de la nature. Grâce à elle, il peut se situer en toute lucidité comme une parcelle minuscule et dépendante dans un immense univers. Il se sait l’un des êtres les plus petits et les plus faibles de la nature ; il a conscience de sa condition fragile et précaire dans l’existence, mais aussi… de sa dignité éminente de « roseau pensant ». Il est ainsi amené à se poser la question de sa place dans le cosmos et dans l’histoire de l’aventure humaine. Qui suis-je ? Où vais-je ? Que fais-je dans le monde ? Nul autre vivant n’est capable de s’interroger ainsi sur le pourquoi de l’existence.

 

L’homme paraît donc autre que l’animal. Il s’en distingue par la pensée, mais aussi parce qu’à la différence de l’animal, il est un être conscient. Il a conscience par exemple de sa liberté : quand il agit d’une certaine manière, il sait qu’il aurait pu agir autrement. Malgré certains déterminismes qui pèsent sur lui, il sait qu’il n’est pas victime de forces aveugles ; qu’il est capable de les surmonter, de maîtriser progressivement ses déterminismes. Sa vie est une longue et laborieuse conquête de sa liberté. L’homme se créé, en grande partie, par son travail.

 

L’homme est donc un corps – ce qui le rapproche de l’animal ; mais aussi un esprit – ce qui l’en distingue radicalement, ontologiquement. Ainsi, tandis que chez toutes les espèces animales, l’union sexuelle et la mort sont des évènements purement biologiques, l’homme, dès la plus lointaine préhistoire, a célébré l’amour et la mort par des cérémonies nuptiales et funéraires : signe qu’il sait dominer son instinct et qu’il est capable d’actes non nécessaires.

 

D’où vient notre esprit ? Quelle peut bien être l’origine de notre pensée, de notre conscience ? Sont-elles secrétées par le cerveau comme le foie secrète la bile ? Ou viennent-elles d’ailleurs ? Nécessaire à la production de notre pensée et de notre conscience – à la manière d’un instrument –, le cerveau ne peut raisonnablement en être l’auteur. Diriez-vous que la Joconde a été produite par un pinceau, ou que les fugues de Bach ont été composées par un orgue ? Il ne faut pas prendre une condition pour une cause, ni un instrument pour un artiste. L’esprit ne peut provenir de la matière brute.

 

D’où vient alors ce principe spirituel qui informe le corps, l’anime, le combat même, tout en lui restant intimement uni ? Pour qui réfléchit vraiment, l’origine de l’esprit humain ne peut s’expliquer sans recourir à l’intervention d’une Intelligence supérieure immatérielle, géniale et créatrice, de laquelle notre esprit est issu, et dont il est lui-même le reflet – un pâle reflet certes, puisque reflet dans une créature finie de ce qu’est le Créateur infini en Lui-même ; mais un véritable reflet. « Insensés, quand comprendrez-vous ? Lui qui planta l’oreille, il n’entendrait pas ? Lui qui façonna l’œil, il ne verrait pas ? » (Ps 94. 8-9).

 

Nous trouvons donc une trace de l’existence d’un Dieu-Esprit personnel et Intelligent dans l’existence de notre propre esprit – de notre propre pensée et de notre propre conscience. Car de quelle autre origine pourrait bien provenir cet être capable de dire « Je » ? D’où pourrait bien nous venir cette capacité d’imaginer, de vouloir et d’aimer ? cette faculté de porter nos amis dans notre cœur, sinon de Celui qui nous porte depuis toujours dans le Sien, et qui suscite des êtres semblables à Lui, capables de se penser eux-mêmes et d’entrer en relation avec d’autres personnes ?

 

Seule une intelligence lucide et souverainement puissante est capable créer une intelligence lucide. La matière, elle-même, est inintelligente. Elle est incapable de produire par elle-même et par ses seules ressources un esprit humain. Même livrée au hasard (à une infinité de combinaisons), elle ne peut faire surgir à elle seule la moindre intelligence. Car le hasard, par définition, est aveugle. Par conséquent, ce qui nous permet d’affirmer qu’une Intelligence créatrice existe et qu’Elle est une Personne, c’est l’existence même des personnes humaines intelligentes que nous sommes. Seul un Être éminemment intelligent et personnel peut être à l’origine de personnes intelligentes. Nous sommes, nous les hommes, la meilleure preuve de l’existence de Dieu.

 

3.2. La loi morale inscrite dans notre cœur

 

Conscient, intelligent et libre, l’homme se sait responsable de ses actions bonnes ou mauvaises. Quand sa volonté défaille, il a conscience d’avoir violé en lui une loi inscrite au fond de son cœur lui intimant de faire le bien et d’éviter le mal. J’en viens donc au deuxième point que nous avons évoqué : nous pouvons encore démontrer l’existence de Dieu par la loi morale inscrite dans notre cœur.

 

Un mot de Kant est resté célèbre : « Deux choses me remplissent l’âme d’un respect et d’une admiration sans cesse renaissants : le ciel étoilé au-dessus de nos têtes et la loi morale au-dedans de nous-mêmes ».

 

Quand on y réfléchit, l’homme est le seul être au monde qui soit capable d’un mouvement altruiste, d’un geste gratuit, d’un acte d’amour pur en dehors de la sphère restreinte des affections instinctives, familiales ou sexuelles. Le soldat qui donne à boire à un ennemi mourant, le passant qui se jette à l’eau pour secourir un noyé, accomplissent des actes biologiquement inconcevables. « Le petit chien de M. Bergeret, écrit Anatole France, ne regarde jamais le ciel bleu incomestible »… L’homme, lui, peut risquer sa vie pour ses idées.

 

Tout homme peut prendre conscience de l’existence d’une loi morale inscrite au plus profond de son être qui lui commande certains actes et lui en défend d’autres. Et selon qu’il obéit ou non à cette Loi morale, il éprouvera la joie ou le remords.

 

C’est donc bien qu’il existe un Législateur universel et suprême, qui commande à la volonté humaine à faire le bien et à éviter le mal ; un témoin de toutes nos actions ; un Juge infaillible auquel nous devrons rendre compte un jour de tous nos actes – c’est donc bien que notre vie est ordonnée, et qu’elle a un sens. Nous pressentons tout cela par les joies ou les tourments de notre conscience que nous éprouvons chaque fois que nous faisons le bien ou le mal. Or, ce Législateur, ce témoin, ce Juge suprême, qui cela peut-il donc être, sinon Dieu, le Principe de tout Bien ? La matière ? Mais la matière ne fait pas de morale ! Le « Bien » par définition est une notion métaphysique qui se situe au-delà de la matière. Dès lors, on le voit : les thèses dites rationalistes et matérialistes n’expliquent pas tout. Elles se heurtent au problème de la morale, de l’existence objective du Bien et du Mal, de l’existence d’êtres héroïques dans leur pratique de la Charité et du Bien.

 

Si l’existence de notre « moi » témoigne de l’existence d’un Dieu personnel, la loi morale inscrite au plus profond de notre cœur apparaît comme la marque, l’empreinte digitale d’un Dieu Législateur, témoin et Juge de tous nos actes, bons ou mauvais. La troisième manière de prouver l’existence de Dieu à partir de notre être, de ce que nous sommes, c’est l’existence en nous d’un désir infini d’accomplissement et d’épanouissement.

 

3.3. Notre désir d’infini

 

Le désir infini, l’insatisfaction fondamentale du cœur de l’homme me paraissent tout aussi étranges que le fait d’être. Nous ne sommes jamais comblés par ce monde. Nous voudrions récolter plus de sourires et de félicitations que nous n’en recevons, savoir plus que nous n’en savons, réaliser plus de choses que nous n’en faisons. L’artiste ne se satisfait jamais de son œuvre, ni le savant de ses découvertes, ni l’athlète de ses performances. On veut toujours aller plus haut, toujours plus loin. L’amoureux lui-même n’est jamais satisfait des marques d’amour qu’il a manifestées, ni des signes qu’il a reçu de l’être aimé. Dire : « c’est suffisant comme cela » n’est pas digne de l’homme. Oui : l’homme est un perpétuel insatisfait ; il est habité d’un désir d’infini.

 

C’est si vrai que la publicité commerciale est basée sur cette insatisfaction et ce besoin d’infini. Simplement, elle nous fait croire que le bonheur consiste à avoir plus, alors qu’il réside dans le fait d’être plus ; d’aimer et d’être aimé.

 

Pour moi, ce manque infini qui existe en l’homme est l’image, le signe, la marque en creux du Créateur. Le désir d’absolu porte l’empreinte de Dieu. Car d’où vient cette coexistence, en chacun de nous, d’un « Je » si limité et de cette idée d’infini, de cette idée de Dieu ? Cette co-existence, considérait Descartes, m’indique deux choses : que je ne suis à l’origine 1°) ni de ma propre existence, 2°) ni de l’existence en moi de cette idée de Dieu. Si je m’étais donné l’existence, je me la serait donnée aussi merveilleuse, aussi parfaite que celle dont je possède l’idée. Et comment l’univers limité dans lequel je suis plongé pourrait-il me fournir cette idée de Dieu qui m’habite irrésistiblement ? C’est donc que cette idée doit venir d’ailleurs… Elle est, dans mon esprit, le sceau que l’Ouvrier divin ne cesse d’imprimer sur son Œuvre.

 

Si l’homme s’expliquait tout seul, s’il n’était qu’un combiné de forces physico-chimiques, il se suffirait à lui-même. Or, rien ne lui suffit ; il est le seul animal à ne jamais trouver ce qu’il cherche. C’est d’ailleurs ce goût d’infini qui lui permet tous les progrès, scientifiques ou autres. L’homme est donc infiniment plus que ses constituants.

 

Les sciences positives peuvent-elles apporter une réponse à l’interrogation du cœur de l’homme sur l’existence d’un infini de connaissance et d’amour ? Si elle disent de plus en plus profondément ce qu’est l’homme en ses constituants, elles ne peuvent répondre à la question : pourquoi l’homme est-il ce qu’il est ? Par ses découvertes, les sciences expérimentales élargissent, plus qu’elles ne la comblent, la soif de connaissance de l’homme, sans donner de réponse définitive à son interrogation essentielle sur le sens de la vie.

 

L’homme porte en lui une immense aspiration à vivre toujours, pourtant il est le seul parmi tous les êtres vivants à savoir qu’il doit mourir. Qui donc a mis en lui cette soif de vie ? Heureux l’homme qui, loin d’être scandalisé par l’insatisfaction perpétuelle de ses désirs, y voit le signe que Dieu seul en vérité peut désaltérer sa soif. « Tu nous a fait pour Toi, Seigneur, disait St Augustin, et notre cœur est sans repos tant qu’il ne repose en Toi ».

 

La soif du divin est si intense chez l’homme que s’il ne trouve pas le vrai Dieu, il déifie n’importe quoi et met de l’Absolu dans l’Etat, l’argent ou le sexe. Un auteur contemporain (Michel Hubault) décrit très bien l’insatisfaction profonde que ressentent beaucoup de couples ou de religieux qui avaient imaginé un peu vite qu’ils trouveraient dans leur vie conjugale ou dans leur vie communautaire la satisfaction totale de leur désir de transparence ou d’échanges en profondeur. Un jour ou l’autre, ils découvriront que Dieu seul peut combler leur désir d’être totalement compris, pleinement comblés, infiniment aimés !

 

« Assoiffés d’amitié, d’amour, poussés par ce besoin incoercible d’aimer et d’être aimés, nous rêvons facilement de fusion, de transparence, de couple parfait, ou de groupe unanime. Rêve plus aliénant que libérateur et qui prépare des lendemains qui ne chanteront pas du tout. Bien des enthousiasmes, insuffisamment enracinés dans la condition humaine, engendrent des amoureux déçus, des frères ou des sœurs aigris ou amers. La désillusion fabrique des individualistes blindés qui se promettent dans leur cœur blessé qu’on n’est pas prêt de leur refaire le coup de la « fraternité » ou de « l’amour conjugal ».

 

« On a tout simplement oublié de leur dire, au départ, que pour réunir une vraie relation humaine, il faut avoir assumé, avec humilité et humour, le mystère de l’homme. Tous ces désirs d’être aimé, reconnu, de posséder lui révèlent son désir infini, son incomplétude radicale, l’inachèvement profond de son être. Voilà sa grandeur et sa souffrance. L’homme demeure cet être étrange en quête d’un bonheur, d’un amour insaisissable dont il ignore lui-même le contenu exact.

 

« Les confidences des couples les plus heureux nous dévoilent qu’aucune relation humaine, fut-elle la plus intense et la mieux réussie, ne peut totalement combler le désir de l’homme. Il y a en lui une zone de solitude incontournable, incommunicable, une sorte de pauvreté, de béance…

 

« Et plus l’homme avance en âge, plus il pressent qu’aucune possession terrestre, aucune reconnaissance humaine ne lui suffisent. Combien de grands hommes qui ont tenu l’Avant scène dans le monde politique, littéraire ou artistique, gavés d’honneurs, d’interviews, de flasches, de manchettes de journaux, de prix, découvrent soudain, au soir de leur vie, quand les feux de la rampe se sont éteints, une solitude intérieure insurmontable. Etrange animal que cet homme mortel dont le désir demeure illimité.

 

« La Révélation chrétienne soulève un pan de ce mystère. Ce désir, ne serait-il pas un appel en creux de la plénitude de Dieu comme amour comblant, souverain bien, finalité ultime de tout être créé ? Ce mystère entrevu doit toujours sous tendre nos débats quand nous parlons de fraternité et d’amour humain. Sans aucun doute, cette capacité d’aimer et d’être aimé est la grandeur et la noblesse de l’homme. Mais ne demandons pas à notre conjoint ou à nos frères ce qu’ils ne pourront jamais nous donner : la plénitude de Dieu. Nos relations fraternelles, amoureuses, ne seront heureuses qu’à la condition de ne pas en faire des absolus. L’absolu n’est pas à la mesure de l’homme. Sacraliser la fraternité ou le couple, sans les ouvrir à la transcendance de Dieu, c’est risquer la supercherie ou la désespérance.

 

« Notre conjoint, nos confrères, avec leurs défauts et leurs limites, sont des compagnons de route, des trésors de vie, de tendresse, des richesses complémentaires, des appels, des chemins, des sacrements, mais ils ne seront jamais le but absolu de notre désir et de notre marche. »

 

La plus belle marque de l’Ouvrier divin sur son œuvre, c’est donc – comme disait Descartes – la nostalgie de perfection qu’Il a mises dans le fond de notre cœur.

 

Mais il est un dernier signe en nous de l’existence de Dieu qu’il nous faut mentionner : c’est notre exigence de justice.

 

3.4. Notre exigence de justice

 

La révolte de notre conscience morale contre l’injustice est sans doute l’une des plus éloquentes manifestations de Dieu au cœur de l’espérance humaine. « Si Dieu n’existait pas, remarquait Gustave Thibon, si un ordre spirituel n’était pas immanent au monde, si le chaos était roi de tout, il serait aussi roi de ton âme et tu ne t’indignerait pas. Ton scandale et ton angoisse en face de l’ordre violé rendent témoignage au Créateur de cet ordre ».

 

Heureux celui qui reconnaît dans le cri obstiné de son âme face à la médiocrité des hommes et au souvenir de ses propres lâchetés, l’écho d’une exigence absolue de justice qui s’impose à tous les hommes.

 

3.5. En conclusion

 

L’homme est assurément la plus approchante des images de Dieu, le plus parfait de ses signes. Par son être transcendant la matière et son animalité, il dit l’être transcendant du Créateur ; par son esprit, il révèle une intelligence supérieure ; par la soif d’infini qui habite son cœur, il dévoile quelque chose de l’infinité de Dieu.

 

 

Bibliographie de cette partie consacrée aux preuves rationnelles de l'existence de Dieu (2/2) :

- Abbé Pierre DESCOUVEMONT, « Guide des difficultés de la foi catholique », 1989
- Exposition de la doctrine chrétienne, Tome I, « Le Dogme», Editions Fideliter, 1992
- Jacques LACOURT, « Croire en Dieu : est-ce possible aujourd’hui ? », Droguet & Ardant, 1991
- Mgr André-Mutien LEONARD, « Les raisons de croire », Communio Fayard, 1987

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Publié par Matthieu BOUCART -
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